A number of good Article Contest pictures I discovered:
IMG_0740G Fra Angelico (Guido di Pietro) from 1400 to 1455. Florence.Retable of the Holy Trinity. Deposition from the Cross.
Image by jean louis mazieres
Fra Angelico (Guido di Pietro) 1400-1455. Florence.Retable de la Sainte Trinité. Déposition de Croix.
Le Couronnement est de Lorenzo Monaco 1370-1435. Noli Me Tangere. Résurrection. Les Femmes au Sépulcre. 1432.
Florence. Museo di San Marco.
Fra Angelico (Guido di Pietro) from 1400 to 1455. Florence.Retable of the Holy Trinity. Deposition from the Cross.
The Coronation of Lorenzo Monaco from 1370 to 1435. Noli Me Tangere. Resurrection. Women at the Sepulcher. 1432.
Florence. Museo di San Marco.
L’ART ET LE BEAU
Pendant des millénaires, en Europe, et dans toutes les civilisations, "le Beau" a été un however et un critère de l’Art, notamment en peinture.
1° Le Beau était le however poursuivi par l’artiste quand il peignait un tableau. De l’époque médiévale à l’Art Moderne, l’artiste a toujours eu pour finalité le Beau. Même quand il entendait peindre une scenario dramatique, ou horrible comme les événements de la ardour du Christ (Retable d’Issenheim) ou l’Enfer ( Bouts, Bosch). Même quand il a entendu peindre les horreurs de la guerre, comme Jacques Callot, Goya ou Otto Dix.
2° Le Beau était reconnu comme tel par consensus.
Comme l’a écrit Mikel Dufrenne dans un article de l’encyclopédie Universalis, le Beau est défini par trois critères que l’on dira objectifs : L’opinion des élites, l’opinion commune de la inhabitants, le temps..
Une excellente définition, pratique, pragmatique, qui ne se noie pas dans les ideas abstraits, la recherche d’une Essence du Beau, et utilise un langage parfaitement compréhensible.
Ces définitions laissent bien sûr la place à l’opinion individuelle et aux goûts de chacun. Comme l’a écrit aussi Mikel Dufrenne dans le même article : "L’œuvre d’art s’impose avec la force de l’évidence, pour le bonheur de qui la contemple."
C’est un quatrième critère, plus subjectif, qui varie en fonction des individus. Telle oeuvre peut procurer du bonheur à telle personne, et pas, ou moins, à telle autre. Mais d’une half le however essentiel de l’artiste était de procurer un bonheur à son public, et ce bonheur était ressenti par une majorité d’hommes de milieux différents.
L’attitude totalement relativiste qui consiste à dire qu’il n’y a pas de critère du Beau, et que tout est affaire de goût personnel, est fausse, par excès, et par méconnaissance des réalités historiques établies. Le Beau est un fait d’expérience. Le Beau est un sentiment de satisfaction, partagé par une giant fraction d’une société, et confirmé par le temps.
Ce qui a changé avec l’Art Contemporain, progressivement, mais très nettement à partir des années 1950, c’est que le Beau n’a plus été un however de l’artwork. Le Laid a même été revendiqué comme une recherche légitime de l’artwork.
Comme le constate très réalistement l’historien d’artwork Ernst Gombrich, l’artwork est devenu "une aventure aux confins de l’impossible et l’art du laid."
L’adhésion idéologique de l’Art Contemporain au Laid est un constat banal, qui a été fait de multiples fois, et qui a été pleinement revendiqué par tous ses théoriciens.
Le critique d’artwork Michel Tapié (1909-1987) constate dans les années 1950-60 que "l’Art Moderne -entendez Art Contemporain- est né le jour où l’idée d’Art et celle de Beauté se sont trouvées disjointes." Il ne critique pas cette disjonction, bien au contraire il la constate et la justifie. "nous avons changé de valeurs".
Cela ne veut pas dire que cela a été pour le mieux ! Il est très significatif que toute l’Europe des Musées distingue les Musées des "Beaux Arts" des "Musées d’Art Contemporain". C’est l’officialisation du divorce de l’Art et du Beau.
Certains critiques commencent à contester vivement l’Art Contemporain officiel. Celui exposé dans les musées. L’Art d’Etat.
Jean Louis Harrouel a proposé une analyse très pertinente, pleine de bon sens, politiquement, économiquement et idéologiquement très fondée de l’Art Contemporain dans son ouvrage "L’Art contemporain, la Grande Falsification". ( Jean Cyrille Godefroy 2009)
En 1999 Jean Monneret avait déjà écrit : « L’art contemporain ? Tous les artistes vivants font partie de l’artwork contemporain. Ce sont les artistes qui font l’artwork. Tous les artistes. Librement !
Or, l’État veut faire croire au public qu’il n’y a qu’un artwork digne d’intérêt, l’artwork dit « contemporain », c’est-à-dire l’artwork d’État. En artwork dit « contemporain », moins il y a à voir, plus il y a à dire ! Dans une exposition d’artwork contemporain, une gaine d’aération, le matériel de secours ou le carrelage des sanitaires se confondent souvent avec les œuvres présentées. La query alors est, où est l’œuvre ? Tant l’harmonie est parfaite entre le contenant et le contenu.
En réalité, l’artwork d’État écarte arbitrairement l’artwork des meilleurs artistes. La démocratie exigerait que l’État, soucieux de l’argent du contribuable, rendît compte de la réalité contemporaine dans toute sa diversité, sans exclusion…"
A la différence de Jean Monneret je n’accuserai pas seulement l’Etat, ou ses fonctionnaires, qui sont, pour la plupart, tout à fait manipulés par plus idéologues et plus puissants qu’eux. Ces décideurs apparents ne font que se conformer à un artistiquement appropriate dont la supply est ailleurs, bien plus haut et bien plus secrète. Ce pourquoi je préfère dire que l’Art Contemporain des musées est un Art Académique ou Officiel.
ART AND BEAUTIFUL
For millennia, in Europe, and in all civilizations, "the Beautiful" was a purpose and a criterion of artwork, significantly portray.
1 The Beautiful was the intention pursued by the artist when he painted an image. From medieval instances to Modern Art, the artist has allways had intented the Beautiful. Even when he meant to paint a dramatic scenario, or horrible, as the occasions of the Passion of Christ (Issenheim Altarpiece) or Hell (Bouts, Bosch). Even when he heard paint the horrors of struggle, as Jacques Callot, Goya and Otto Dix.
2. The Beautiful was acknowledged as such by consensus.
As Mikel Dufrenne wrote in an article in the Encyclopedia Universalis, the Beau is outlined by three standards aims: The opinion of elites, the frequent opinion of the inhabitants, the time.
An wonderful definition, sensible, pragmatic, that doesn’t drown in summary ideas, the seek for an Essence of Beauty, and makes use of an comprehensible language.
These definitions depart the course up to the particular person opinion and tastes. As written additionally Mikel Dufrenne in the similar article: "The work of art is imposed on all, with the strength of the evidence, to the delight of the beholder." It is a fourth criterion, extra subjective, which varies relying on people. Such work can carry happiness to such an individual, and never, or much less, to one other. But firstly, the major intention of the artist was to present happiness to his viewers, and this happiness was felt by a majority of males of completely different backgrounds.
The totally relativistic perspective of saying that there isn’t a criterion of Beautiful, and that all the things is matter of private style, is fake, by extra and by ignorance of the established historic realities. The Beautiful is a truth of expertise. The Beautiful is a sense of satisfaction, shared by a big part of society, and confirmed by time.
What has modified with the Contemporary Art, regularly, however very clearly from the Fifties is that Beautiful was not a function of artwork. The Ugly has even been claimed as a reputable pursuit of artwork.
As famous very sensible artwork historian, Ernst Gombrich, the artwork has grow to be "an adventure to the borders of the impossible and the art of the ugly."
The ideological accession of Contemporary Art at the Ugly is a banal statement, which was completed a number of instances, and has been totally claimed by its theorists.
The artwork critic Michel Tapié (1909-1987) notes that in 1950-60 "Contemporary Art is born on the day when the idea of Art and that of the beauty found disjointed." He doesn’t criticize this disjunction, on the opposite he finds and justifies it. "We have changed values."
This just isn’t to say that it was for the greatest! It could be very important that every one of Europe Museum distinguishes between Museums of the "Beaux Arts" of the "Museum of Contemporary Art". This is the formalization of the divorce between the Art and the Beautiful.
Some critics are starting to strongly contest the official Contemporary Art. The one exhibited in the museums. The Art of State..
Jean Louis Harrouel has proposed a really pertinent evaluation, full of frequent sense, politically, economically and ideologically very based of Contemporary Art in his guide "Contemporary Art, Great Falsification". (Jean Cyril Godefroy 2009)
In 1999 Jean Monneret had already written: "Contemporary artwork? All dwelling artists are half of the Contemporary Art. These are the artists who make artwork. All the artists. Freely!
But the State needs to imagine to the public that there it has solely an artwork, worthy of curiosity, the artwork says "Contemporary", that’s to say, the State Art. In artwork known as "Contemporary", the much less there’s to see, the extra there’s to say!
In a recent artwork exhibition, a air flow duct, emergency gear or tile sanitary usually merge with the works introduced. The query then is, the place is the work? As is ideal concord between the container and the content material.
In actuality, the artwork of State departs arbitrarily the artwork of the greatest artists. Democracy would require the State aware of thetaxpayers’ cash, ought to render account of up to date actuality in all its range, with out exclusion … "
Contrary to Jean Monneret I don’t simply accuse the State or its officers, who’re fully manipulated by ideologues and extra highly effective than they. These obvious determination makers adhere solely to an ideology of the Artistically Correct whose supply can be a lot greater and extra secret. That why I favor to say that the up to date artwork museum is an Academic Art, or Official Art.
IMG_0740E Fra Angelico (Guido di Pietro) 1400-1455. Florence.Retable de la Sainte Trinité. Déposition de Croix.
Image by jean louis mazieres
Fra Angelico (Guido di Pietro) 1400-1455. Florence.Retable de la Sainte Trinité. Déposition de Croix.
Le Couronnement est de Lorenzo Monaco 1370-1435. Noli Me Tangere. Résurrection. Les Femmes au Sépulcre. 1432.
Florence. Museo di San Marco.
Fra Angelico (Guido di Pietro) from 1400 to 1455. Florence.Retable of the Holy Trinity. Deposition from the Cross.
The Coronation of Lorenzo Monaco from 1370 to 1435. Noli Me Tangere. Resurrection. Women at the Sepulcher. 1432.
Florence. Museo di San Marco.
L’ART ET LE BEAU
Pendant des millénaires, en Europe, et dans toutes les civilisations, "le Beau" a été un however et un critère de l’Art, notamment en peinture.
1° Le Beau était le however poursuivi par l’artiste quand il peignait un tableau. De l’époque médiévale à l’Art Moderne, l’artiste a toujours eu pour finalité le Beau. Même quand il entendait peindre une scenario dramatique, ou horrible comme les événements de la ardour du Christ (Retable d’Issenheim) ou l’Enfer ( Bouts, Bosch). Même quand il a entendu peindre les horreurs de la guerre, comme Jacques Callot, Goya ou Otto Dix.
2° Le Beau était reconnu comme tel par consensus.
Comme l’a écrit Mikel Dufrenne dans un article de l’encyclopédie Universalis, le Beau est défini par trois critères que l’on dira objectifs : L’opinion des élites, l’opinion commune de la inhabitants, le temps..
Une excellente définition, pratique, pragmatique, qui ne se noie pas dans les ideas abstraits, la recherche d’une Essence du Beau, et utilise un langage parfaitement compréhensible.
Ces définitions laissent bien sûr la place à l’opinion individuelle et aux goûts de chacun. Comme l’a écrit aussi Mikel Dufrenne dans le même article : "L’œuvre d’art s’impose avec la force de l’évidence, pour le bonheur de qui la contemple."
C’est un quatrième critère, plus subjectif, qui varie en fonction des individus. Telle oeuvre peut procurer du bonheur à telle personne, et pas, ou moins, à telle autre. Mais d’une half le however essentiel de l’artiste était de procurer un bonheur à son public, et ce bonheur était ressenti par une majorité d’hommes de milieux différents.
L’attitude totalement relativiste qui consiste à dire qu’il n’y a pas de critère du Beau, et que tout est affaire de goût personnel, est fausse, par excès, et par méconnaissance des réalités historiques établies. Le Beau est un fait d’expérience. Le Beau est un sentiment de satisfaction, partagé par une giant fraction d’une société, et confirmé par le temps.
Ce qui a changé avec l’Art Contemporain, progressivement, mais très nettement à partir des années 1950, c’est que le Beau n’a plus été un however de l’artwork. Le Laid a même été revendiqué comme une recherche légitime de l’artwork.
Comme le constate très réalistement l’historien d’artwork Ernst Gombrich, l’artwork est devenu "une aventure aux confins de l’impossible et l’art du laid."
L’adhésion idéologique de l’Art Contemporain au Laid est un constat banal, qui a été fait de multiples fois, et qui a été pleinement revendiqué par tous ses théoriciens.
Le critique d’artwork Michel Tapié (1909-1987) constate dans les années 1950-60 que "l’Art Moderne -entendez Art Contemporain- est né le jour où l’idée d’Art et celle de Beauté se sont trouvées disjointes." Il ne critique pas cette disjonction, bien au contraire il la constate et la justifie. "nous avons changé de valeurs".
Cela ne veut pas dire que cela a été pour le mieux ! Il est très significatif que toute l’Europe des Musées distingue les Musées des "Beaux Arts" des "Musées d’Art Contemporain". C’est l’officialisation du divorce de l’Art et du Beau.
Certains critiques commencent à contester vivement l’Art Contemporain officiel. Celui exposé dans les musées. L’Art d’Etat.
Jean Louis Harrouel a proposé une analyse très pertinente, pleine de bon sens, politiquement, économiquement et idéologiquement très fondée de l’Art Contemporain dans son ouvrage "L’Art contemporain, la Grande Falsification". ( Jean Cyrille Godefroy 2009)
En 1999 Jean Monneret avait déjà écrit : « L’art contemporain ? Tous les artistes vivants font partie de l’artwork contemporain. Ce sont les artistes qui font l’artwork. Tous les artistes. Librement !
Or, l’État veut faire croire au public qu’il n’y a qu’un artwork digne d’intérêt, l’artwork dit « contemporain », c’est-à-dire l’artwork d’État. En artwork dit « contemporain », moins il y a à voir, plus il y a à dire ! Dans une exposition d’artwork contemporain, une gaine d’aération, le matériel de secours ou le carrelage des sanitaires se confondent souvent avec les œuvres présentées. La query alors est, où est l’œuvre ? Tant l’harmonie est parfaite entre le contenant et le contenu.
En réalité, l’artwork d’État écarte arbitrairement l’artwork des meilleurs artistes. La démocratie exigerait que l’État, soucieux de l’argent du contribuable, rendît compte de la réalité contemporaine dans toute sa diversité, sans exclusion…"
A la différence de Jean Monneret je n’accuserai pas seulement l’Etat, ou ses fonctionnaires, qui sont, pour la plupart, tout à fait manipulés par plus idéologues et plus puissants qu’eux. Ces décideurs apparents ne font que se conformer à un artistiquement appropriate dont la supply est ailleurs, bien plus haut et bien plus secrète. Ce pourquoi je préfère dire que l’Art Contemporain des musées est un Art Académique ou Officiel.
ART AND BEAUTIFUL
For millennia, in Europe, and in all civilizations, "the Beautiful" was a purpose and a criterion of artwork, significantly portray.
1 The Beautiful was the intention pursued by the artist when he painted an image. From medieval instances to Modern Art, the artist has allways had intented the Beautiful. Even when he meant to paint a dramatic scenario, or horrible, as the occasions of the Passion of Christ (Issenheim Altarpiece) or Hell (Bouts, Bosch). Even when he heard paint the horrors of struggle, as Jacques Callot, Goya and Otto Dix.
2. The Beautiful was acknowledged as such by consensus.
As Mikel Dufrenne wrote in an article in the Encyclopedia Universalis, the Beau is outlined by three standards aims: The opinion of elites, the frequent opinion of the inhabitants, the time.
An wonderful definition, sensible, pragmatic, that doesn’t drown in summary ideas, the seek for an Essence of Beauty, and makes use of an comprehensible language.
These definitions depart the course up to the particular person opinion and tastes. As written additionally Mikel Dufrenne in the similar article: "The work of art is imposed on all, with the strength of the evidence, to the delight of the beholder." It is a fourth criterion, extra subjective, which varies relying on people. Such work can carry happiness to such an individual, and never, or much less, to one other. But firstly, the major intention of the artist was to present happiness to his viewers, and this happiness was felt by a majority of males of completely different backgrounds.
The totally relativistic perspective of saying that there isn’t a criterion of Beautiful, and that all the things is matter of private style, is fake, by extra and by ignorance of the established historic realities. The Beautiful is a truth of expertise. The Beautiful is a sense of satisfaction, shared by a big part of society, and confirmed by time.
What has modified with the Contemporary Art, regularly, however very clearly from the Fifties is that Beautiful was not a function of artwork. The Ugly has even been claimed as a reputable pursuit of artwork.
As famous very sensible artwork historian, Ernst Gombrich, the artwork has grow to be "an adventure to the borders of the impossible and the art of the ugly."
The ideological accession of Contemporary Art at the Ugly is a banal statement, which was completed a number of instances, and has been totally claimed by its theorists.
The artwork critic Michel Tapié (1909-1987) notes that in 1950-60 "Contemporary Art is born on the day when the idea of Art and that of the beauty found disjointed." He doesn’t criticize this disjunction, on the opposite he finds and justifies it. "We have changed values."
This just isn’t to say that it was for the greatest! It could be very important that every one of Europe Museum distinguishes between Museums of the "Beaux Arts" of the "Museum of Contemporary Art". This is the formalization of the divorce between the Art and the Beautiful.
Some critics are starting to strongly contest the official Contemporary Art. The one exhibited in the museums. The Art of State..
Jean Louis Harrouel has proposed a really pertinent evaluation, full of frequent sense, politically, economically and ideologically very based of Contemporary Art in his guide "Contemporary Art, Great Falsification". (Jean Cyril Godefroy 2009)
In 1999 Jean Monneret had already written: "Contemporary artwork? All dwelling artists are half of the Contemporary Art. These are the artists who make artwork. All the artists. Freely!
But the State needs to imagine to the public that there it has solely an artwork, worthy of curiosity, the artwork says "Contemporary", that’s to say, the State Art. In artwork known as "Contemporary", the much less there’s to see, the extra there’s to say!
In a recent artwork exhibition, a air flow duct, emergency gear or tile sanitary usually merge with the works introduced. The query then is, the place is the work? As is ideal concord between the container and the content material.
In actuality, the artwork of State departs arbitrarily the artwork of the greatest artists. Democracy would require the State aware of thetaxpayers’ cash, ought to render account of up to date actuality in all its range, with out exclusion … "
Contrary to Jean Monneret I don’t simply accuse the State or its officers, who’re fully manipulated by ideologues and extra highly effective than they. These obvious determination makers adhere solely to an ideology of the Artistically Correct whose supply can be a lot greater and extra secret. That why I favor to say that the up to date artwork museum is an Academic Art, or Official Art.
