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Bikini Open 154
Video Contest
Image by The Bikini Open
Pictures from The Bikini Open collection which aired on tv within the 90s as PPV.
For extra footage, movies and particulars go to:
thebikiniopen.wordpress.com

IMG_8526D COMPRENDRE L’ART CONTEMPORAIN (3) L’ART DE LA TOUR DE BABEL
Video Contest
Image by jean louis mazieres
Naomi Maury 1991 Lyon
Institut d’Art Contemporain (IAC) Villeurbanne (Lyon)

COMPRENDRE L’ART CONTEMPORAIN (3) L’ART DE LA TOUR DE BABEL

Aujourd’hui nous ne concevons d’autre artwork que de contestation, c’est un des signes de notre décomposition. Après tout il y a eu du grand artwork sur commande, il n’y eut même que cela : Égypte, Mésopotamie, Grèce, Byzance, les Maya, l’Art Chinois, l’Inde, notre Occident chrétien, Renaissant, Baroque et même Classique. C’était beau, c’était commandé, mais les artistes y croyaient.
Jean DUCHÉ. Le Bouclier d’Athéna.

« On peut faire avaler n’importe quoi aux gens », c’est un knowledgeable qui le dit : MARCEL DUCHAMP ( interview dans l’categorical 23 juillet 1964) Sous le nom d’artwork, voici plus de cent ans qu’on fait avaler aux gens n’importe quoi. On est en pleine irréalité, ce qui est officiellement considéré comme étant l’artwork du XXè siècle et du début du siècle actuel n’a pas de rapport avec l’artwork, c’est de l’anti-art, du non artwork, du canular.
JEAN LOUIS HARROUEL L’Art contemporain, la Grande Falsification Jean Cyrille Godefroy 2009

"Une œuvre est reconnue comme œuvre d’art parce qu’elle a subi victorieusement l’épreuve de la critique, de l’opinion publique commune et du temps."
Mikel DUFRENNE (1910-1995 Universalis. article Œuvre d’artwork)

L’Art est ce que vous croyez. Et l’artwork vous fait croire en ce que vous croyez. L’art vous fait aussi croire en ce que vous ne croiriez pas, si vous étiez libre de croire. Et si vous ne croyez plus en rien ? Même pas en l’homme ? Seulement en vous-même, au mépris de tous les autres ? C’est l’Art Contemporain Officiel.
La laideur et l’absurdité de l’Art Contemporain Officiel sont des virus mortels, destructeurs des cultures collectives et des personnes. C’est le Covid-Art. Il s’est auto-confiné dans de magnifiques bâtiments où aucun public ne se rend, sauf quelques personnes vaccinées, contraintes, aventureuses ou naïves.

L’art contemporain officiel est un anti-art, sur commande, mondialiste, étatique et supra-étatique, public et privé, qui mix sept constantes que l’on retrouve dans presque tous les musées européens:
Il est laid, absurde, provocateur, bâclé, triste, déraciné, obsessionnel, et comme conséquence de tout cela, totalement artificiel.

1° L’Art Laid
C’est ce que constate l’historien d’artwork Ernst Gombrich: " l’art occidental est devenu une aventure aux confins de l’impossible, et l’art du laid".
L’Art Laid est une invention majeure de l’Occident dans la seconde moitié du 20è siècle. Les Beaux Arts anciens (Belle Arti, Schönen Künste, Fine Arts) et encore l’Art Moderne, qui va de 1830 à 1950, pouvaient à l’event peindre les laideurs de la vie et de la mort. La laideur de la Passion du Christ, du Diable, des Enfers, de la Guerre, de la maladie et des épidémies, de la folie, de la mort and many others…. Mais le laid n’était jamais un however en soi, c’était seulement un moyen d’exprimer les laideurs de certaines réalités.
Dans l’artwork contemporain officiel cet impératif du Laid concerne aussi bien l’artwork abstrait que l’artwork figuratif.
Quand le Laid devient un critère de l’artwork officiel, un however de l’artiste peintre, et une situation nécessaire pour entrer dans un musée de peinture, ou de sculpture, alors débute incontestablement l’ère de l’Art Contemporain.
L’adhésion idéologique, doctrinale, systématique, de l’Art Contemporain à la laideur est un constat très banal, qui a été fait de multiples fois, et qui a été pleinement revendiquée par ses théoriciens et ses praticiens.
Le critique d’artwork Michel Tapié (1909-1987) constate dans les années 1950-60 que "l’Art Moderne -entendez Art Contemporain- est né le jour où l’idée d’Art et celle de Beauté se sont trouvées disjointes." Michel Tapié ne critique pas cette disjonction, bien au contraire il la constate et la justifie. "nous avons changé de valeurs". Effectivement, la laideur est devenu une valeur constructive, en esthétique !
Il est très significatif que l’Europe et l’Occident des Musées distingue, les Musées des "Beaux Arts" (Belle Arti, Schönen Künste, Fine Art), des "Musées d’Art Contemporain". C’est l’officialisation du divorce de l’Art et du Beau. Cette institutionnalisation, cette systématisation de l’anti-esthétique est une première dans l’histoire des civilisations.
Il est impératif de ne pas confondre l’Art Moderne (1830–1950) avec l’Art Contemporain qui s’impose en Occident dans les cercles officiels à compter des années 1950 et suivantes. La différence essentielle, mais très easy à comprendre, est celle ci : l’Art Moderne est une esthétique, l’Art Contemporain est, et revendique d’être, une anti-esthétique.

Quelques questions s’imposent :
L’homme doit-il se féliciter d’avoir renié la beauté dans sont artwork officiel ?
Est- il obligatoire de considérer que c’est une évolution nécessaire et inévitable? Un progrès même ?
Et si l’artwork laid était, au contraire, un artwork dégradant, une régression? Une Involution?

2° L’Art Absurde.

Pendant toute la période des Beaux Arts anciens (Belle Arti, Schönen Künste, Fine Arts) l’artwork n’a jamais été absurde. Il avait toujours une signification, il était porteur d’un enseignement très clairement perceptible par le plus grand nombre, même par les analphabètes, notamment dans l’artwork religieux. A partir de la Renaissance apparaît un artwork inspiré par l’antiquité gréco-romaine dont la signification est seulement accessible à une élite cultivée de la société européenne. Mais l’artwork proceed jusqu’à l’époque contemporaine a être porteur de sens, à tenir un discours clair destiné à convaincre et rassembler.
A l’époque moderne, vers 1900, avec l’artwork non figuratif, abstrait, apparaît une nouveauté : l’artwork du non-sens. Le non-sens, compris comme le manque de signification, l’absence d’un discours intelligible, porteur d’un message précis, aisément identifiable par les populations ou par les élites. C’est alors qu’apparaissent les œuvres "sans titre" ou porteuses de titres dépourvus de sens : "Composition N°.."
Mais ce n’est qu’avec l’artwork contemporain officiel, après la seconde guerre mondiale, que le non-sens, l’ absence de discours significatif, évolue, s’exacerbe, et devient synonyme d’absurdité.
L’art moderne abstrait, c’est un triangle bleu et un level rouge sur fond blanc.
L’art contemporain officiel, c’est une paire de chaussures portant des lunettes, un tas de cailloux, un lit suspendu au plafond du musée ou un balai serpillière….
Cette caractéristique de l’absurdité, contrairement à celle de la laideur, n’est pas revendiquée de manière explicite par les dogmatiques de l’Anti-Art. Au contraire les théoriciens de l’Art Contemporain Officiel veulent absolument faire croire que l’Anti-Esthétique est supérieurement intelligente, porteuse d’un contre-discours hautement subtile, superlativement "conceptuel", que seul un visiteur initié aux mystères de la pensée contemporaine pourrait comprendre. D’où l’significance dans les musées d’artwork contemporain du Discours sur l’Art, qui s’affiche parfois en plus grand que les "œuvres d’art". En réalité le public vraiment informé, pas celui faussement éclairé, doit comprendre qu’il n’y a rien à comprendre à propos de chacune de ces "œuvres d’art". Le discours sur l’artwork est là pour tromper le public, le stupéfier, l’intimider, lui interdire toute contestation. Par contre il est nécessaire de comprendre pourquoi cet "art", dans le même temps, affiche son absurdité et la dissimule derrière tout un discours justificatif. Il faut aussi comprendre la signification globale, politique, idéologique, sociale de cette déconstruction esthétique et éthique, totalement sophistique. Nous sommes en présence d’un artwork de Sophiste, auquel il faut opposer, fermement, la sagesse de Socrate. Au risque de devoir boire la cigüe, après condamnation par une "République" dévoyée.

3° L’Art Provocateur.

Pendant toute la période des Beaux Arts anciens (Belle Arti, Schönen Künste, Fine Arts) l’artwork n’a jamais été provocateur. L’Art avait pour fonction et pour however de transmettre un message éducatif clair, compréhensible par la majorité, et ses moyens étaient la séduction des populations dans leur globalité, ou de clientèles plus particulières, en étant porteur d’un discours consensuel, qui rassemble les destinataires autour d’une tradition collective et d’un idéal commun. L’Art était un partage entre les membres de toute la société conçue comme une communauté centripète. L’art était inter-social, c’est à dire qu’il devait convenir, à l’ensemble des courses de la société, être admis par elles comme un bien commun et favoriser la communication à l’intérieur de la collectivité.
Avec le Non-Art Contemporain officiel apparaît une doctrine systématique inverse, d’une totale intolérance : Le dogme de l’artwork qui doit déranger les peuples. L’art n’est plus fait pour susciter l’ adhésion des populations, mais pour les perturber, provoquer des réactions négatives d’opposition, de rejet. Le discours officiel sur l’artwork proclame sans cesse la prétendue nécessité d’une "remise en question" de toutes les traditions. Ainsi "l’initié" se distinguera en se répandant en louanges sur cette prétendue catharsis, et le non éclairé, le zombi, sera stigmatisé quand il osera critiquer l’absurdité de la violence dogmatique faite au beau et au sens.
Ce dogme de "l’art qui doit déranger" a toutes les caractéristique du langage intolérant de certaines doctrines religieuses dont les fanatiques sont incapables d’admettre et de comprendre qu’une foi en un Dieu véritable peut passer par d’autres chemins que le leur, et exposer d’autres vérités que celles en lesquelles ils croient. Il n’est plus query de foi en un Dieu révélé pour les tenants des "Lumières", mais cette doctrine de l’artwork qui a le devoir de déranger les peuples est en réalité l’expression d’une foi en une Raison humaine supérieure et révélée, nécessitant une initiation secrète. Cette doctrine est la traduction dans le domaine de l’esthétique d’une idéologie élitiste, sectaire et dogmatique. Le fanatisme s’est désacralisé, en Occident, mais il demeure identique à lui-même, et il est toujours aussi dangereux pour les libertés.
La Provocation est un des principes fondateurs caractéristiques de l’artwork contemporain officiel. Si on veut comprendre l’artwork contemporain officiel et même un sure artwork des rues (celui des tags vandales) il faut penser sur le même terrain que lui. Opposer la provocation et le mépris explicite à la provocation et au mépris implicite des peuples qui est caractéristique de l’artwork contemporain officiel. C’est d’ailleurs pourquoi l’artwork contemporain officiel, artwork d’état et même supra-étatique, mondialiste, artwork caractéristique de notre actuelle civilisation occidentale révèle un état d’esprit inquiétant des élites, une sur estimation d’elles mêmes évidente, et pose un très réel problème de société.

4° L’Art Bâclé.

L’Art Bâclé half de l’esquisse, il nait de sa systématisation abusive.
L’Esquisse a été essentiellement dans l’histoire de la peinture une étude préparatoire, qui permettait à l’artiste de s’assurer de la cohérence et de l’équilibre de son tableau fini. Dans ce cas, le plus souvent, l’approximation du dessin, le flou de la représentation n’est qu’un brouillon, un projet, un artwork incomplet qui demande à être achevé.
De nombreux artistes, au cours des siècles passés, ont parfaitement compris que l’esquisse pouvait, parfois, exceptionnellement, être une oeuvre achevée. C’est à dire une oeuvre dont une grande majorité de spectateurs, specialists ou non, ressentaient impérieusement que RIEN ne devait lui être ajoutée. Ce n’est pas une définition mathématique, pas même philosophique, mais c’est la meilleure, comme pour la beauté : le sentiment commun, majoritaire, éclairé par l’opinion des élites, mais largement partagé au sein d’une société.
L’esquisse n’est une oeuvre achevée que lorsqu’elle est créatrice d’une atmosphère singulière, particulièrement suggestive, porteuse d’une poésie qui lui est propre, distinctive. Quand il apparaît de manière évidente que plus de précision dans le dessin fermerait les portes à l’imaginaire, au mystère, et détruirait un équilibre subtile entre le rêve et la réalité.
Mais c’est une alchimie dont seuls les grands artistes, peuvent, exceptionnellement, pénétrer le secret.
Il est vrai que l’esquisse peut dégager une certaine puissance expressive, avoir une puissance évocatrice, une poésie de l’inachevé. Une drive expressive que le tableau, bien fini, bien dessiné et bien peint, achevé, peut effectivement perdre. Mais la magie poétique de l’artwork du flou ne peut pas être systématique et perd toute sa séduction quand elle devient une habitude du faire et un conformisme du regard.
Depuis les impressionnistes combien d’artistes on fait de l’esquisse et du tachisme sans artwork et par facilité ?
L’esthétique de notre époque s’est beaucoup trop focalisée sur l’esquisse. Le flou, l’esquisse, la tache sont devenus une mode, une tradition obligatoire. Toujours le même constat : les bonnes idées, les pratiques innovantes et créatrices, deviennent mauvaises et stériles quand elles se systématisent.
En réalité les artistes ne sont pas les seuls responsables de cette scenario. Au 19è siècle la société occidentale est entrée dans une tradition qui fait de la réussite, matérielle, économique, et de l’Argent ses valeurs principales. Dès lors des esquisses, qui ne seraient pas sorties des brouillons personnels de l’artiste, pendant les siècles précédents, sont devenues de marchandises sources de income. Ces marchandises, se trouvent même dans les musées. Picasso, peintre de transition entre l’artwork moderne et l’artwork contemporain, avait très bien compris ce mécanisme économique.
Bien sûr cette évolution est habillée de Grands Principes : Il n’est pas query d’Argent, mais de l’Artiste, de la Liberté de Création, du Progrès des Arts, d’une "sensibilité nouvelle", de "vivre avec son temps" and many others…
Cette omniprésence de l’esquisse, du flou et du tachisme reflète non seulement des habitudes du regard mais des valeurs éthiques et culturelles. L’Art de l’esquisse, du flou et de la suggestion symbolique et poétique est devenu, par esprit à la fois de système et de provocation, et aussi beaucoup par commodité et conformité à la mode, l’Art Facile, l’Art Bâclé. L’art de faire, vite, au plus vite, une réputation et de l’argent. Nous sommes aux antipodes de la peinture des siècles antérieurs, à l’époque ou l’artwork était un métier. Un métier qui s’apprenait longuement, difficilement, et qui demandait infiniment de méticulosité.

5° L’Art Triste

Pendant des siècles, la peinture européenne, l’artwork européen en général, a été conçu pour faire rêver les peuples, ou une partie importante d’une inhabitants : aristocratie, bourgeoisie ou courses populaires. Quand la peinture européenne peignait des monstres, les maladies ou la guerre, c’était seulement ce qui était nécessaire pour formuler un rappel aux réalités du monde.
Apollon écorchait Marsyas vivant, Prométhée se faisait manger le foie sur ordre de Zeus, Adonis mourait, Orphée ne réussissait pas à ramener Eurydice des Enfers. Mais Europe n’était pas malheureuse d’être enlevée, Aphrodite (Vénus) naissait et aimait, et le printemps revenait régulièrement, comme Perséphone des Enfers.
Les Crucifixions, les Mises au Tombeau et les Pietas étaient toujours accompagnés d’une Annonciation, d’une Nativité et d’une Résurrection. Et après la Mort de la Vierge venait son Assomption et son Couronnement.
L’art néerlandais du XVIIe siècle, profane, laïc, proclame sans se lasser les joies simples de la vie de famille, les paysages maritimes, les cieux changeants, les fêtes de village, les danses de mariage et les abondances matérielles : viande, légumes, fromage et fleurs en abondance. Une profusion que les têtes de mort ne parvenaient pas à cacher. Même sans leurs dents, les agriculteurs chantaient, certainement en buvant un peu trop.
Tout l’artwork néo-classique, romantique et impressionniste du XIXe siècle a fait rêver avec des paysages d’Italie ou d’Europe : prairies parsemées de coquelicots, rivières fraîches et amicales, forêts pleines d’ombres favorables, châteaux mystérieux, troupeaux de moutons et bovins, bergers musiciens….. Et sauf quelques naufrages dans une mer agitée, dans l’ensemble, la peinture européenne était joyeuse et faisait rêver les peuples.
Rêve de Dieu, rêve d’Amour spirituel ou sensuel, rêve de vie éternelle, rêve de bonté, de pureté et de beauté, rêve de maternité, rêve de paradis, sur terre ou dans les airs, rêve de paysage idyllique, rêve de chasse réussie, rêve d’abondance. Le Rêve ne manque pas dans la peinture européenne, pendant des siècles, qui font bien plus qu’un millénaire. Et ce rêve est encore perçu de nos jours, même quand il ne correspond plus à des croyances actuellement vivantes et partagées.

C’est quand les idéologues et les politiques, qui imposent aux artistes ce que l’artwork doit être, ont décidé de peindre un monde qui ne fait pas rêver les peuples, que l’artwork contemporain a débuté : L’Urinoir de Marcel Duchamp est un des archétypes de cette "révolution".
Les "Éclairés" ont en effet inventé l’artwork triste. Ils ont tout fake, une fois de plus malgré leur conviction d’être l’Oeil qui éclaire de haut toute la pyramide sociale : L’art c’est ce qui fait rêver les peuples. Pas ce qui leur donne des cauchemars.
Il n’y a pas de doute qu’au cours du 20è siècle en Europe, puis en Occident, s’est généralisé, dans le domaine de la peinture et de la sculpture, un regard pessimiste, tragique, absurde, sur la vie
Les artistes contemporains sont-ils heureux de devoir produire ce Nouvel Art Obligatoire ?
On ne voit pas dans les salles d’Art Contemporain un artwork qui respire la Joie de Vivre et l’Epanouissement de Soi.
Les oeuvres de Fra Angélico témoignent que ce peintre était heureux de peindre comme il le faisait. En somme il était libre ! De même les oeuvres de Pierre Paul Rubens ou des Impressionnistes.
A regarder les oeuvres de Van Gogh il apparaît une certitude : ce peintre tourmenté avait la joie de se libérer par son artwork de ses difficultés à vivre.
A quoi sert l’Art, si ce n’est pas pour rendre les gens heureux, ou au moins les aider à vivre ?
Qu’est ce qu’un Art qui n’est pas un enchantement ?
Pourquoi un Art désenchanté ? Systématiquement et ostensiblement, revendicativement désenchanté ?
L’Enfer d’Enguerrand Quarton ou de Hiéronymus Bosch était plein de flammes et d’horribles démons.
L’Enfer de notre monde contemporain a rationnellement évacué toutes les horreurs obscurantistes de la faith: il est aussi lisse, triste et absurde que des carrés blancs, jaune ou noir, des boites de contreplaqué, des tas de charbon, des poutrelles de ciment, du papier mâché, des vêtements entassés ou suspendus et des cartons gross sales.
C’est l’artwork d’une élite mondialiste qui refuse de communiquer avec ses semblables, et qui est aussi incapable de sentir et faire ressentir des émotions positives. Pas de beau, pas de joie, pas de bon. L’art de faire rêver est devenu l’artwork de faire cauchemarder les peuples. C’est plus que triste, c’est alarmant. Démocrite lui même serait-il encore succesful d’en rire ?

6° L’Art sans Racines: L’Art de la Tour de Babel

La fréquentation des Musées d’Art Contemporain fait apercevoir un phénomène qui devient vite flagrant, obsédant, à partir du second où le visiteur en a pris conscience : le passé des hommes, l’histoire des civilisations y est totalement absent. C’est une fois encore le même constat : c’est l’inverse des Beaux Arts (Belle Arti, Schönen Künste, Fine Arts) . Un Anti-Art atemporel, où toute mémoire du passé est absente, s’étale dans les Musées d’Art Contemporain.
l’Art Contemporain Officiel est un amas de "trucs" divers qui constituent un étalage de présent, un présent omniprésent, totalement coupé de tout environnement spatial ou temporel :
Des toiles unies, colorées ou pas, des lignes, des factors, des traits et des cercles, des carrés ou rectangles diversement colorés, et bien sûr des taches, surtout des taches. Des gravats, des tuyaux, des balais, des serpillières, des échelles, des lits, des chaises et tables bancales, des entassements de choses diverses : charbon, pierre, cartons, papiers, plastiques. Des poutrelles rouillées, tordues, cassées, des cartons assemblés, des vêtements et chiffons entassés, des boites ouvertes ou fermées, des machineries cassées ou concassées, des tubulures, poutres de ciment, moellons, parpaings, tuiles, briques entières ou pulvérisées, des tubes de néon, des sacs vides ou des sacs pleins (il paraît que conceptuellement c’est très différent), toutes les sortes de tuyaux (fer, ciment, plastiques), du caoutchouc, des seaux, brocs, pots; des palissades, des téléphones, des machines à écrire emballées ou pas, des éviers, des urinoirs, des vélos, des fruits et légumes, toute une brocante numerous, mais absurde là où elle est exposée : les musées d’artwork.
Une multitude d’écoles artistiques prétendent s’inspirer de la société contemporaine, notamment de ses sciences et de ses strategies : L’art conceptuel, l’artwork vidéo, l’artwork informatique, l’artwork numérique, le bio artwork, les appellations ne manquent pas, mais les installations qui en résultent, outre leur laideur systématique, très éloignée de la réalité des laboratoires ou des usines actuelles, sont totalement vides de significations effectivement en lien avec les sciences et les strategies humaines telles qu’elles sont pratiquées. Comme ces installations sont sans lien aucun avec la vie citadine efficient d’une grande partie de la inhabitants occidentale. Heureusement que nos villes ne ressemblent pas à nos musées d’artwork contemporain.
Les musées d’artwork contemporain sont un entassement d’objets sans identité réelle, sans "personnalité", sans capacité empathique, automotive ils ne s’inscrivent dans aucun contexte crédible.
ni le contexte de l’utilité, automotive les objets présentés sont totalement hors de leur utilization réel.
ni le cadre géographique, automotive ils ne sont représentatifs d’aucune tradition caractéristique d’une région de la planète.
ni l’approche historique, automotive ces objets n’ont aucun rapport avec l’histoire et le passé des sociétés humaines.
Rien dans ces musées qui puisse enraciner le visiteur dans l’histoire de sa communauté ou d’une quelconque communauté.
A observer l’Art Contemporain Institutionnel, à étudier son discours, il est clair que l’homme occidental n’est pas non plus sur la voie du rapprochement avec la Nature. La nature, les animaux, et l’humanité – sauf quand elle est laide et absurde – ont presque totalement disparu de l’artwork occidental institutionnel. Le rapprochement avec la Nature est pourtant un thème que tous les médias occidentaux à vacation spot du grand public développent régulièrement. Le thème de l’animal n’a pas non plus disparu de l’artwork des rues ni de l’artwork industrial privé native, régional ou nationwide. Il est omniprésent dans la photographie.
Pourquoi ce divorce entre l’Art Officiel Mondialiste, l’artwork réservé aux élites éclairées, totalement artificiel et contre nature, et les arts ou les médias à vacation spot du grand public ?
Pourquoi cet Art Institutionnel est-il déraciné non seulement des différentes cultures humaines, mais aussi de la Nature ?
Le spectateur est enfermé dans un présent fixed, obsédant, terrifiant par son anonymat et son absence de tout repère identitaire. L’art contemporain c’est la maladie d’Alzheimer à l’échelle de la société toute entière : chaque immediate se succède sans être relié à l’immediate d’avant, et encore moins à un passé lointain. Un artwork de fourmilière dans laquelle les générations se succèdent sans aucun lien mémoriel, seule demeure lively la chaîne de l’intuition.

L’art contemporain officiel est à l’évidence conçu pour effacer la mémoire des hommes et pouvoir mieux ainsi orienter les restes d’intelligence qui survivront à ce traitement. Il est facile de comprendre pourquoi le public principal de ces musées d’artwork contemporain sont les élèves des écoles, collèges et lycée.
Cette scenario n’est en effet pas le résultat d’un hasard mais d’une volonté politique fondée sur une idéologie parfaitement identifiable : L’idéologie des "Lumières" comportait quelques vérités importantes, opportunes, créatrices et vivantes. Mais ces vérités ont été interprétées au paroxysme de leur extrémisme, et se sont installées en Vérité absolue, systématique, distinctive et universelle, négatrice de toutes les valeurs et expériences des civilisations passées. Ce nouveau totalitarisme est porteur, comme tous les totalitarismes, d’Ombres tragiques, et finalement de Mort. Quand l’homme a la prétention de se réclamer des "Lumières", les siennes, les lumières de sa seule raison, il est tout à fait conséquent qu’il finisse dans l’Ombre profonde de l’erreur, de l’ignorance, du laid et de l’absurde. Ce que démontre l’artwork contemporain officiel.
L’art contemporain officiel, celui des musées qui portent ce nom, met en pratique, dans le domaine de l’esthétique, un principe fondamental de l’idéologie des Lumières : "La Table Rase". Le passé européen et celui de toutes les civilisations est rétrograde et obscurantiste, c’est le temps des Ombres. Il doit disparaître totalement pour que l’Humanité nouvelle puisse s’épanouir dans la Modernité, que les "Lumières" seules représentent. En URSS, en Chine Maoïste, cette idéologie de la "Table Rase" a été imposée par un totalitarisme démocratique explicitement violent, un parti distinctive revendiquant comme légitime "la dictature du prolétariat". Dans les pays capitalistes les méthodes sont autres : le totalitarisme se dissimule derrière les apparences de la démocratie libérale prétendument plurielle. Ses méthodes sont celles d’une violence déguisée, sous-jacente, inspirée et organisée par des organisations dissimulées aux regards du grand public : celles de la manipulation des opinions et des esprits.
Les racines des peuples, les liens des nations avec leur passé doivent être totalement coupés pour ne laisser subsister que la vraie et l’distinctive doctrine, celle à la gloire de l’universalité. Selon les Grands Prêtres du Mondialisme ce serait le prix à payer pour garantir, grâce à la disparition des nations, ethniques et culturelles et un gouvernement distinctive à l’échelle de la terre, un avenir radieux, la paix et un paradis sur terre. La disparition des racines des hommes c’est en effet le même projet que la disparition des Nations. De l’oubli des racines à la destruction des racines la distance est infime : c’est ce que démontre l’incendie officiellement involontaire de Notre Dame de Paris. La charpente de chênes, multiséculaire, de Notre Dame de Paris peut bien brûler, comme accidentellement, ce n’est pas du tout une disaster, c’est même une intéressante opportunité. Elle sera reconstruite en quelques années. Elle sera même mieux : elle sera en béton, et toute neuve. On pourra toujours la maintenir inscrite au Patrimoine de l’Humanité. De quoi se plaignent les esprits rétrogrades obscurément attachés au passé ?
L’art contemporain officiel est un artwork spécialement conçu pour les peuples déracinés, émigrés, immigrés, mélangés : Rien n’y rappelle leurs origines, leurs cultures spécifiques, leurs anciens territoires. Leurs symboles, même les plus chers, seront détruits, incendiés intentionnellement. C’est le projet mondialiste dont l’ idéologie et la politique se reflètent dans l’anti-esthétique contemporaine officielle.

7° L’Art Obsessionnel.
L’obsession dont il est query ici est celle de la Modernité, du Nouveau, du Changement, de la Révolution, du Progrès. Il est obligatoire de peindre, de sculpter, d’installer, tout et n’importe quoi, à la seule situation que cela n’ai jamais été fait avant! Des rouleaux de papier hygiéniques au sol ? Excellente idée ! A une situation : il faut être sure que cela n’a pas été déjà fait ! Et si cela a été fait, il est attainable de faire la même selected, mais avec des salissures réelles ou artificielles, en plus. Ce sera encore plus nouveau et un vrai progrès !
Cette obsession de la nouveauté rejoint ici aussi le dogme de "la Table Rase" et s’encourage de la doctrine du reniement du Passé qui est un level fondamental du catéchisme des Lumières extrémistes. La conséquence directe de cette monomanie est évidemment la survalorisation du présent et de l’avenir : une agitation permanente, un énervement fébrile, sans however réel, sans prudence, ni bon-sens, une effervescence stérile et même destructrice des grands équilibres nécessaires. C’est "le Bougisme" de Pierre André Taguieff (Résister au Bougisme. Fayard 2001). En inventant ce néologisme, Pierre André Taguieff a avec raison dénoncé le culte maladif du changement pour le changement. Cette idéologie absurde de la nouveauté obligatoire, à n’importe quel prix, provoque bien évidemment ses ravages dans l’artwork, comme ailleurs dans la société occidentale.
Même si le 21è siècle débutant begin à lancer des cris d’alarmes à propos de la nuisance de l’homme, l’obsession du Changement et du Progrès par l’motion de l’homme demeure une constante de tous les discours officiels et un des tous premiers commandements du catéchisme idéologique et "artistique".

Conclusion : L’Art Artificiel. L’Art Mort

Le cahier des prices en sept factors qui est ainsi imposé aux artistes contemporains décidés à se faire une réputation dans l’artwork officiel a une conséquence évidente : L’Art Contemporain Officiel est un artwork totalement insincère, un sommet de l’artifice et du conformisme. L’art européen comme celui universel a toujours été un artwork sur commande, pendant des millénaires. Dans toute l’histoire des civilisations à vrai dire il n’a existé d’artwork que sur commande. Ce sont toujours les élites idéologiques et politiques qui ont inspiré, orienté et financé l’artwork des différentes civilisations. Sauf une exception notable, en Europe, pendant la période de l’Art Moderne. Nous avons dit pourquoi dans d’autres textes : en un mot la diversité idéologique. Mais l’artwork sur commande, dans les temps anciens, même quand dominait une idéologie distinctive, n’excluait pas que les artistes puissent créer avec sincérité, et donc librement, un artwork certes sur commande, mais authentique et partagé. Toute l’histoire de la peinture européenne depuis l’époque médiévale en est la preuve.

C’est ce qui a manifestement changé avec l’artwork contemporain officiel à partir de la seconde moitié du 20è siècle. Devoir absolument créer le laid, l’absurde, le triste, être contraint de provoquer et déranger les peuples de la base de la pyramide, est à l’évidence très accablant pour les artistes officiels eux mêmes. Même quand les honneurs et les income sont au bout du chemin. Leur artwork est artificiel, il n’est porteur d’aucune véracité vivante. Un artwork de commande, mais un artwork Mort.
La sincérité, la bonne foi, de l’artiste est une situation, certes pas suffisante, mais absolument nécessaire de l’artwork. On voit bien dans les arts anciens, quand le peintre, même talentueux, ne croit plus à ce qu’il peint. Ce ressenti se rencontre très clairement dans l’artwork religieux, à certaines époques, chez certains artistes même de grand expertise. Dans l’artwork ancien, c’est un phénomène individuel ou conjoncturel.
Par contre dans les musées d’artwork contemporain officiel, l’absence de sincérité, l’inauthenticité, la fausseté, la duplicité est générale et structurelle : le spectateur baigne dans une atmosphère de mensonge fixed, d’artifice contraint, d’affectation hypocrite, de complaisance mortellement ennuyeuse. C’est exactement le sens du titre de l’ouvrage de Aude de Kerros "L’Imposture de l’art contemporain" Eyrolles 2017.
L’Art Contemporain Officiel est une Imposture parce qu’il est une posture imposée, un comportement obligé, une astreinte mortelle pour la liberté de création.
Un artwork beau et compréhensible par les peuples, le partage d’une émotion vivante et constructive avec le public, ce n’est pas le problème des "artistes" de l’artwork contemporain officiel. Leur seul centre d’intérêt, évident aux yeux du visiteur, c’est leur réussite sociale. Ces artistes peignent, sculptent ou "installent" pour entrer au musée. Toute sincérité est évacuée comme dangereuse pour la réussite de cette entreprise. Il faut remplir le cahier des prices des situations pour être admis par les sélectionneurs, faire à tout prix, du nouveau et du laid, et parvenir à la provocation la plus absolue.
Il est manifeste que l’authenticité, la sincérité, restent sur le bord de cette route imposée à la création artistique. Certains opportunistes s’en accommodent parfaitement, automotive c’est un cahier des prices certes astraignant, mais qui n’exige aucun expertise proprement artistique. D’autres, certainement nombreux, se contraignent pour obtenir la reconnaissance publique. D’autres encore refusent de jouer ce jeu et n’entrent pas dans les grands musées. Ces contraintes et ces refus ont certainement un coût esthétique au niveau de la société globale.

La sincérité était un critère de l’esthétique européenne du passé. Peu importait que la croyance soit fausse ou vraie, ou plus ou moins vraie, peu conforme à la rationalité telle que notre époque la conçoit. C’est un fait historique que toutes les grandes religions ont été, pendant des millénaires, à l’origine d’arts authentiques, sincères, beaux, significatifs, partagés avec les peuples et reconnus par le temps. L’évidence est qu’ avec l’Art Contemporain Officiel, l’authenticité est morte, et le partage avec elle bien sûr. La fréquentation des musées d’artwork contemporain, démontre qu’aucun courant ne passe entre les artistes, leurs mécènes officiels et la majorité du public en scenario de pouvoir décider librement de ses activités.
"La majorité des opposants à l’art contemporain est totalement invisible et sans voix. Artistes et amateurs qui la composent font comme si l’Art Contemporain n’existait pas. Ils considèrent qu’il est si nul qu’il n’est pas nécessaire d’y accorder la moindre attention, ni de faire le moindre effort critique."
Aude de Kerros L’Art Caché. Eyrolles 2013.
Ces opposants ont raison quant à la nullité esthétique de l’artwork contemporain officiel. Mais ils ont tort de rester sans voix, automotive cet artwork est un révélateur de l’état d’esprit des élites gouvernantes. Les gouvernés doivent se préoccuper très attentivement des visions de l’artwork, et donc du monde, de leurs gouvernants, automotive elles les concernent directement. Le "Massacre des Innocents" est une scenario d’actualité, pas seulement une anecdote du Nouveau Testament. Une élite idéologique et politique qui a fait occupation de foi de massacrer le beau, le sens, la sincérité, l’artwork en général, et proclame son droit à déranger les peuples, est suspecte. Le bloodbath de la peinture, le bloodbath de l’artwork c’est l’annonce, la préfiguration du bloodbath des peuples (les "Gilets Jaunes") par leurs élites idéologiques et politiques. L’histoire récente a démontré que les sociétés explicitement totalitaires, nazies et communistes, génocidaires, ont été incapables de créer un artwork authentique et sincère. La très grande majorité des artistes les ont fuit.
La société capitaliste libérale, triomphante de notre temps, a agi de manière politiquement bien plus subtile en créant un Anti-Art Officiel Obligatoire. Est ce une antidote efficace et suffisante contre le totalitarisme, que cette société ait laissé subsister des réserves pour la beauté, le sens, la sincérité dans d’autres domaines comme la photographie ou l’artwork des rues, ou dans un artwork privé non accrédité, adventice? Il serait avisé d’en douter sérieusement.

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Video Contest
Image by miguel.discart
Grand-Hornu – Rebel Rebel

Le MAC’s presente REBEL REBEL artwork + rock, une exposition inedite consacree a la tradition rock et ses liens avec l’artwork contemporain. Les utopies, contestations, marginalites, appears et autres attitudes singulieres qui caracterisent la musique rock ont encourage en effet nombre d’artistes plasticiens depuis les sixties. Denis Gielen, directeur du MAC’s, invite le public a redecouvrir la tradition rock a travers le prisme d’oeuvres (movies, pictures, installations, dessins, peintures, and many others.) qui en detournent les codes, les modes et les references. Reunissant les oeuvres de pres de 30 artistes belges ou etrangers, l’exposition suggest un regard sur le rock, tantot immersif (set up video) tantot distancie (paperwork d’archives), qui oscille entre energie destroy et humour desinvolte. A epingler, la presence d’une set up uncommon du grand artiste americain Dennis Oppenheim, qui n’a plus ete montree depuis sa creation en 1974 et que le MAC’s, en collaboration avec la Fondation basee a New York, a exhumee des oubliettes. Pour les amateurs de distorsions et de bidouillages electriques, un concert-performance noise de Joris Van de Moortel, jeune artiste anversois, aura lieu au MAC’s le soir du vernissage. Publie aux Editions Fonds Mercator, un livre abondamment illustre et organise suivant trois modes importantes de l’histoire du rock (le folks, le glam et le punk) est egalement edite a cette event.

On pourra y decouvrir des oeuvres de : Jean-Michel Alberola, Dave Allen, Jacques Andre, David Askevold, Charlotte Beaudry, Quentin de Briey, David Claerbout, Gilles Elie Cohen, Damien De Lepeleire, Douglas Gordon, Dan Graham, Patrick Guns, Daniel Johnston, Corita Kent, David Lamelas, Gauthier Leroy, Jacques Lizene, Christian Marclay, Dieter Meier, Angelica Mesiti, Jonathan Monk, Johan Muyle, Dennis Oppenheim, Tony Oursler, Steven Parrino, Raymond Pettibon, Allen Ruppersberg, Catherine Sullivan, Dennis Tyfus, Joris Van de Moortel, Alan Vega.

( Le Grand-Hornu est un ancien complexe industriel de charbonnages faisant partie de l’ancienne commune d’Hornu, situee dans la area du Borinage, a une dizaine de kilometres a l’Ouest du centre de Mons, dans le Hainaut en Belgique. Ce web site fait partie du patrimoine majeur de Wallonie. De model neoclassique, il compte aujourd’hui parmi les beaux temoignages architecturaux de l’ere industrielle et comprend une des plus anciennes cites ouvrieres au monde. )

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